jeudi 21 mars 2024

Les sept de l'escalier 15

Prenez un immeuble en petite copropriété de sept appartements. 
Le premier est occupé par la famille Blouin le fils Gérard Lartigau (1942-2014), le père André Gille (1921-2012), la mère Blanchette Brunoy (1915-2005), la fille Lyne Chardonnet (1943-1980), 
le deuxième par Monsieur et Madame Boulanger Jean-Paul Roussillon (1931-2009) et Sylvia Saurel (1939), 
la famille Goujon, Jacques Fabbri (1925-1997), Françoise Seigner (1928-2008) Jeannette Darmon (inconnue), Sabine Haudepin (1955)
Madame Janniau et sa fille Yvonne Clech (1920-2010), Danielle Palmero (inconnue)
Monsieur et Madame Lamenoise Jacques Balutin (1936), Amarande (1933-2022)
Monsieur Lemaire Bernard Lavalette (1926-2019), 
Monsieur et Madame Nikolowsky et leur fils, Jean Parédès (1914-1988), Louisa Colpeyn (1918-2015), Marc Aulnay (inconnue)
Tous ces personnages qui ne font que se croiser, vont s'associer dans le délire de Monsieur Blouin. Ce dernier a en effet découvert un grand jeu où des énigmes paraissent chaque jour. Les lots font rêver chacune des familles de cette résidence et très vite, tout ce petit monde se prête au jeu. Le facteur qui livre le journal chaque jour est attendu avec hâte.
Voici le sujet de ce feuilleton, Les sept de l'escalier 15 
dont le premier épisode a été diffusé le mardi 3 janvier 1967 à 19.25 sur l'unique chaîne de l'O.R.T.F.
Voici comment le feuilleton était présenté dans les pages programmes de Télé 7 Jours,
numéro 354 avec en couverture Michel Piccoli (1925-2020) et Juliette Gréco (1927-2020).
Cette histoire sort de la tête de l'excellent Jean-Paul Rouland (1928) qui, nous l'avons vu précédemment, tenait le rôle du facteur.

Je n'avais jamais vu ce feuilleton auparavant et pire, je n'en n'avais jamais entendu parler. Grâce à ina madelen / 
j'ai pu faire cette très belle découverte car cette série est éminemment drôle. Cette histoire de concours du journal qui lie tous ces personnages complètement différents est une très belle idée. Chacun apporte sa pierre à l'édifice et permet de répondre aux questions malgré les difficultés, les différences de caractère et de points de vue. C'est une très belle vision de la vie en société. 
Bravo Monsieur Jean-Paul Rouland. 
Ce feuilleton vient tout juste après dans mon cœur, de celui que je préfère, Les saintes chéries.
Le feuilleton m'a permis également de revoir toutes ces comédiennes et comédiens alors à la mode dans ces années 60. J'ai par ailleurs découvert Jacques Fabbri qui était très bon dans son rôle.

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