Tour à tour possession des Rois du Dauphiné, puis surtout des Ducs de Savoie de 1345 à 1601, le village devient à cette date définitivement français.En 1909, le village est menacé de destruction mais sous l'impulsion d'Édouard Herriot et du Comité du Vieux Pérouges, le village est sauvé et nous pouvons aujourd'hui encore nous promener dans ses ruelles pavées de galets.
D'ailleurs, les galets sont utilisés outre pour paver les rues, également comme matière première dans la construction de nombreuses maisons du village.
Le soleil est présent, les premiers touristes aussi. Nous connaissons déjà ce village car nous y sommes déjà venus plusieurs fois, enfants, avec nos parents respectifs. Une seule chose à changer : l'accès au village et la création d'un parking aménagé payant. (2€00)Nous nous rendons vers la Place du Tilleul qui tient son nom à un tilleul de la Liberté planté là au début du XIXème siècle.
Il y a également ici un énorme cadran solaire.Certaines maisons n'ont pas pu être reconstruites mais elles laissent apparaître de belles cheminées. Il semblerait bien que tout en haut de cette bâtisse,
des fromages sont en train de sécher dans ce qu'il semble être une cage à fromages.
Derrière ces carreaux multicolores s'alignent les outils d'un artisan car le village a toujours connu une forte activité artisanale.
Comme le prouve cette porte, le village reste fortifié et ce jeune garçon ne doit pas être le premier à tenter l'ascension de la Porte d'en Haut !
Enfin, nous ne pourrions pas parler de Pérouges sans sa spécialité culinaire : la galette de Pérouges. C'est une succulente galette au sucre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire