Elle est connue pour sa bière : cerveja Sagres mais également pour son fort construit sur un promontoire naturel qui donne directement sur le vaste océan Atlantique.
L'entrée se fait par une vaste porte.
Il semblerait que le passage ait été emprunté jusqu'à il y a peu de temps par des voitures et que ces dernières roulaient sur le promontoire heureusement accessible maintenant aux seuls piétons. A l'intérieur, il subsiste quelques bâtiments mais surtout cette immense rose des vents de 43 mètres de diamètre.
Le drapeau portugais flotte fièrement en haut des remparts car ici en bord d'océan le vent souffle fort.
Une petite chapelle semble perdue dans cette immensité militaire
Le soleil tape fort, et bien entendu, nous avons oublié de mettre de la crème solaire. Frédéric sera quitte pour quelques coups de soleil.
A pieds, nous pouvons nous promener sur cette avancée de terre, où parfois se trouvent d'immenses trous, formés par l'érosion de cette roche par l'océan.
Perdus dans les herbes, des objets nous apprennent des choses sur la vie des portugais et de leurs éléments naturels. Grâce à cette boule terrestre, des diodes allument tantôt les itinéraires découverts par les portugais (routes d'Afrique, d'Asie...), tantôt les pays découverts par ces mêmes aventuriers, tantôt le monde lusophone (où l'on parle portugais)
Nous terminons notre visite par un arrêt à la poudrière (mon dieu que ça sent le moisi à l'intérieur !) où nous regardons deux films (en portugais sous titré en anglais) : l'un touristique nous présentant le Portugal, l'autre historique qui nous plonge à l'époque de l'âge d'or du Portugal et de ses grandes découvertes : la route d'Afrique, de l'Inde, du Japon...
Attention, ne dites jamais à un portugais que son peuple a colonisé d'autres peuples, car pour eux il s'agissait d'une mission d'évangélisation.
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