Πάρος (Paros)

Nous partons sans même prendre notre petit déjeuner à 5h15 de notre hôtel. C'est le veilleur de nuit qui récupère d'ailleurs la clef de notre chambre.

Direction la station de métro d'Omonia pour nous rendre au Port du Pirée où nous arrivons à 6h00.

Frédéric prend un café brûlant que le malheureux sera obligé de jeter tellement il était chaud. Il aura d'ailleurs la langue brûlée !

Nous accédons au port par une passerelle qui traverse un grand boulevard. Au pied de l'escalier, une jeune fille nous offre un Coca Cola Zero. La foule est importante et de toutes nationalités. Une équipe d'une télévision grecque tourne un reportage.

Notre traversée s'effectuera à bord du High Speed 3 et durera moitié moins de temps qu'avec un ferry. (tout de même 3h30)

Nous sommes installés à l'intérieur en première classe. Je me fais "gronder" par le steward lorsque je prends une photo. Il m'informe que les photos ne peuvent être prises qu'en seconde classe.

N'ayant pas petit déjeuner ni l'un ni l'autre et ne souhaitant pas rester à jeun, je vais acheter un peu de ravitaillement ... qui me coûtera très, très cher ! C'est fou ce qu'ils en profitent pour augmenter les prix.

La traversée est agréable si ce ne sont des remarques désobligeantes faites par des touristes... français (toujours les mêmes à se faire remarquer alors qu'ils ne sont pas chez eux) à propos d'un jeune garçon qui trouve la traversée longue et qui, comme tous les enfants du monde, s'impatiente au bout d'un moment. Enfin...

Des écrans de télévision diffuse un programme matinal d'une chaîne grecque, où nous voyons d'ailleurs l'équipe qui se trouvait sur le port.

Une voix féminine annonce le premier arrêt sur l'île de... Paros.

Et mais c'est la notre !

A nous Paros !

Notre deuxième semaine débute et ce sera une semaine de farniente après celle culturelle.