Le Parc National de la Mauricie a été créé le 12 mai 1977. Avant l'arrivée des Français, il était occupé par trois Nations : les Attikameks, les Algonquins et les Abénaquis.
Aujourd'hui, il est occupé par quatre randonneurs pour une toute petite découverte de ce parc de 536 km2.
Aujourd'hui, il est occupé par quatre randonneurs pour une toute petite découverte de ce parc de 536 km2.
N'ayant pas encore trouvé nos crampons, Annie et Michel nous en prêtent ainsi que des paires de bâtons.
Nous voici prêts à affronter la neige mais surtout la glace.
Car s'il y a encore un peu de neige, elle tend à fondre en journée. Les températures négatives la nuit provoquent une belle couche de glace qui vient s'ajouter aux précédents créant de belles couches qui recouvrent parfois le paysage.
La sensation de marche sur glace est nouvelle tout comme le bruit qui l'accompagne. Grâce aux crampons, nous pouvons marcher parfaitement normalement sans aucune glissade. Les pointes de nos crampons accrochent bien dans la glace que ce soit sur le plat, dans les montées ou dans les descentes.
Si nous débutons par une longue montée,
nous atteignons les hauteurs pour voir s'offrir à nous le Parc de la Mauricie et la rivière Mauricie.
Encore un peu d'effort, le sommet est tout proche.
De là-haut, nous découvrons le Lac Solitaire encore gelé et enneigé.
Toujours à travers la forêt, nous entamons notre descente.
Le Lac Solitaire apparait derrière les sapins et les tuyas.
Nous faisons une pause sur ses berges. Frédéric en profite pour prendre une jolie photo panoramique.
Les chaises adirondack rouges se retrouvent partout au Canada. Lorsqu'elles sont installées en pleine nature, cela signifie qu'il y a un beau paysage à apprécier. C'est le cas ici face aux Lac aux Chevaux.
Un îlot semble être coincé à tout jamais dans le froid québécois. Selon les saisons, ce spectacle naturel doit changer du tout au tout.
Nous nous restaurons d'une pomme de retour sur le parking avant de faire une halte dans le parc à Shawinigan. Le 2800 du Parc propose un restaurant, des hébergements,, des locations de skis,
des réparations pour les vélos des cyclistes qui, en été, parcourent les routes du parc.
La décoration est simple mais fait grandement son effet.
De retour à Trois-Rivières, si le plan premier était d'aller au restaurant, le mal de tête de Frédéric fera venir le restaurant à nous. La nourriture proposée par le Mezcal-Taqueria est tout simplement divine avec de la véritable cuisine de rue mexicaine comme nous avons pu en manger au Mexique il y a quelques années. Un grand bravo au Chef Gerardo.
Je goûte la bière locale où sont dessinés d'adorables petits oursons... mais également leur mère qui les protège.
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