vendredi 15 octobre 2021

Santiago 73 post mortem

 

Chaque année nous tombons sur un film qui n'est pas à nôtre goût, Santiago 73 post mortem, ne l'est pas, mais alors vraiment pas du tout !
Quel ennui, que c'est long, quel manque de dialogues et quand il y en a, ils semblent être incohérents. 
Le sujet de l'arrivée de la dictature au Chili suite au putsch contre le Président Salvador Allende (1908-1973, Président de 1970 à 1973) n'est déjà pas un sujet très simple à traiter mais si l'on ajoute en plus la trame qui raconte la vie quotidienne d'un fonctionnaire de l'institut médico-social, c'est désespérant.
Après quelques minutes, Frédéric a abandonné. J'ai persévéré jusqu'au bout mais avec ennui, dégoût, mal être. Je n'avais qu'une seule envie, que tout se termine.
Le seul côté positif c'est d'avoir montré le putsch du Général Augusto Pinochet (1915-2006) à la tête de la dictature de 1973 à 1990 le 11 septembre 1973 et le début des massacres perpétrés par ce régime, 1 800 morts dès les premières semaines, 3 200 morts et disparus, 38 000 personnes torturées sur toute la durée du régime.
Je laisse ma mémoire oublier ce film sans doute trop intellectuel pour nous et pas du tout à notre portée.

Mario Comejo est fonctionnaire de l'institut médico-social à Santiago. Il vit simplement et passe son temps à épier sa voisine qu'il aime secrètement. Cette dernière ne connait même pas son existence. Un jour pourtant ils se rencontrent mais c'est à la veille de du putsch de Pinochet. Toute la vie des Chiliens est alors modifiée et tous risque dorénavant d'être tués. La maison de la voisine est d'ailleurs fouillée de fond en combles alors qu'elle n'est pas là...

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